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Infos socialisme: risques d’inflammation cardiaque chez les enfants confirmés

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Selon une nouvelle étude révélée par Epoch Times, les enfants et les adolescents courent un risque élevé d’inflammation cardiaque après avoir reçu le vaccin COVID-19 de Pfizer. C’est ce qu’a annoncé Jean-Marc Sabatier le 3 août 2021.

En particulier, les chercheurs de la Food and Drug Administration (FDA) ont découvert que la myocardite, une forme d’inflammation cardiaque, et la péricardite, une affection inflammatoire connexe du péricarde (sac protecteur entourant le cœur), atteignaient le seuil de sécurité pour les enfants âgés de 12 à 17 ans. après les deuxième et troisième doses.
Inflammation dans les 7 jours

Les chercheurs ont recherché des dossiers médicaux de cas de myocardite et de péricardite, et ils ont obtenu des dossiers pour 37 des 153 cas. Vingt-sept d’entre eux ont été confirmés comme des cas réels. Ces enfants ont été hospitalisés en moyenne 2,8 jours. La myocardite ou la péricardite s’installe dans les sept jours pour la plupart des patients.
Des responsables des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis et des chercheurs du monde entier affirment que les vaccins Pfizer et Moderna, qui utilisent tous deux la technologie de l’ARN messager (ARNm), provoquent une myocardite et une péricardite.
Les maladies cardiaques peuvent entraîner des problèmes à long terme et même la mort.
C’est exactement ce qu’affirmait Jean-Marc Sabatier le 3 août 2021 dans un article. Le voici dans son intégralité.

« Il ne semble pas souhaitable, pour ne pas dire déraisonnable, d’inclure les enfants et les adolescents dans une stratégie de vaccination contre le SARS-CoV-2 et ses variants », déclare Jean-Marc Sabatier*. Interview.

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Jean Marc Sabatier

L’Agence européenne des médicaments (EMA) a récemment approuvé l’utilisation des vaccins à ARNm Moderna (Spikevax) et Pfizer-BioNTech (Cormirnaty) pour les enfants/adolescents âgés de 12 à 17 ans dans les 27 pays de l’Union européenne. Cette décision tranche avec l’avis de l’OMS du 21 juillet 2021 qui ne recommande pas le vaccin Covid-19 pour cette tranche d’âge. Pourquoi y a-t-il des avis aussi contradictoires de la part des autorités sanitaires les plus importantes dans ce domaine ?

L’OMS doit considérer, contrairement à l’Agence européenne des médicaments, que le rapport bénéfice/risque de la vaccination des plus jeunes n’est pas favorable. C’est aussi mon avis compte tenu des données actuelles sur le SARS-CoV-2 et le Covid-19.

Les enfants/adolescents ont une faible susceptibilité à une infection sévère par le SRAS-CoV-2 et ses variants (sauf cas particuliers de comorbidité), contrairement aux adultes.
Au 22 juillet 2021, environ 4,13 millions d’enfants avaient été infectés par le SRAS-CoV-2 dans le monde depuis le début de la pandémie. Actuellement, environ 20 % des personnes infectées sont des enfants ou des adolescents (

Indépendamment d’un certain niveau de protection conféré par l’existence d’une immunité croisée avec d’autres coronavirus saisonniers bénins, cette faible sensibilité des enfants/adolescents (en particulier des jeunes enfants) à l’infection par le SRAS-CoV-2 est principalement basée sur leur système rénine-angiotensine (RAS ) qui diffère de celle des adultes. Il s’agit d’un système hormonal/physiologique complexe et omniprésent (présent dans de nombreux tissus et organes tels que le cœur, les poumons, les reins, le foie, les intestins, le cerveau, le système vasculaire, les testicules, la peau, etc.) impliqué dans l’autonomie rénale, pulmonaire et cardiovasculaire. les fonctions. Ce système, qui joue un rôle central dans le fonctionnement de l’organisme chez l’homme (et les mammifères), est celui spécifiquement ciblé par le virus SARS-CoV-2.
Un RAS dysfonctionnel est le coupable des maladies Covid-19. Un tel dysfonctionnement du RAS est induit par la liaison du SRAS-CoV-2 (ou de la protéine Spike du vaccin) au récepteur ACE2 (enzyme de conversion de l’angiotensine 2) sur les cellules cibles humaines.

Y a-t-il une différence entre les enfants et les adultes ?

En effet, plusieurs études scientifiques ont mis en évidence des différences importantes entre le RAS des enfants et des adultes. Ainsi, pour une même personne, le RAS varie de la naissance au décès.
Une étude récente montre une différence de distribution/densité du récepteur RAS ACE2 (cible du virus) dans la muqueuse nasale et les cellules épithéliales alvéolaires des poumons.
De plus, le RAS « pilote » les processus inflammatoires et la libération de cytokines associée, ainsi que l’immunité innée, qui diffèrent entre les enfants et les adultes. Par exemple, il existe une forte protection anti-SARS-CoV-2 chez les jeunes enfants via la mobilisation des granulocytes éosinophiles (mobilisation non observée chez les adultes). Il existe également un tissu lymphatique protecteur associé aux bronches, appelé « BALT » (il s’agit d’une unité fonctionnelle favorisant l’immunité antimicrobienne par élimination ou « clairance » des pathogènes). Cela s’accompagne d’une diminution de la production de cytokines pro-inflammatoires très délétères (tempête de cytokines) responsables de l’évolution vers des formes sévères de Covid-19.
Ainsi, une infection d’enfants ou d’adolescents par le SRAS-CoV-2 conduit extrêmement rarement à une forme très grave ou mortelle de la maladie. La létalité est à ce jour quasi inexistante pour cette tranche d’âge des personnes infectées par le virus.

Faut-il vacciner les jeunes pour éviter la transmission du virus ?

Ce point est d’une importance cruciale. À mon avis, cela ne justifie pas la vaccination immédiate des jeunes. En effet, vacciner des individus ne bloque pas la transmission potentielle du virus à d’autres individus, comme l’ont démontré des études récentes. Autrement dit, la vaccination n’empêche pas la transmission du virus.
Enfin, y a-t-il des risques à vacciner les jeunes ?

Même s’il est petit, il existe des dangers potentiels associés à la vaccination des enfants (et des adultes). Ces dangers sont basés sur :

  1. Ignorance des éventuels effets secondaires « délétères » associés -à long ou court terme- à la vaccination contre le SARS-CoV-2 ;
  2. L’utilisation de vaccins à ARNm qui sont les seuls, à ce jour, agréés par nos autorités de santé (AEM) pour les enfants/adolescents âgés de 12 à 17 ans. En effet, il s’agit des premiers vaccins basés sur la technologie des ARN messagers utilisés chez l’homme, ce qui implique la découverte d’éventuels effets indésirables à long terme. Pour toutes ces raisons, il ne semble pas souhaitable (pour ne pas dire déraisonnable), à ​​ce stade des connaissances , pour inclure les enfants et les adolescents dans une stratégie de vaccination contre le SARS-CoV-2 et ses variants. Cependant, il faut rappeler que les vaccins « classiques » utilisés aujourd’hui chez les enfants et les adolescents ont bel et bien sauvé des millions de vies au cours des dernières décennies. Il ne s’agit pas de dénigrer l’utilité de vaccins qui ont déjà fait leurs preuves, mais de mettre en garde contre un rapport bénéfice/risque défavorable de la vaccination contre le SRAS-CoV-2, pour les jeunes de 12 ans et plus. En conclusion, je voudrais vous rappeler que plus vous êtes jeune, moins vous avez de risques de développer une forme grave de la maladie Covid-19, selon les statistiques.*Jean-Marc Sabatier, docteur en biologie cellulaire et microbiologie, directeur de recherche au CNRS, rattaché à l’Institut de Neuro-Physio-pathologie (INP) de l’Université d’Aix-Marseille

    Plaidoyer pour la vaccination des jeunes

    Deux médecins qui font autorité en matière de vaccination, le Dr Stanley A. Plotkin et le Dr Ofer Levy, ont publié en juin 2021 un article dans Pediatrics, la revue américaine de l’Academy of Pediatrics, intitulé « Envisager la vaccination obligatoire des enfants contre le COVID-19. ” Dans ce document, les deux experts en vaccins expliquent que la vaccination des 12 à 17 ans protégera les adultes. Nous savons maintenant que ce n’est pas vrai. Mais c’est probablement à cause de cette publication, notamment, que les autorités de plusieurs pays, dont la France, ont décidé de vacciner les jeunes de 12 à 17 ans !
    Il convient toutefois de noter que les deux médecins ont des liens d’intérêt avec de grandes sociétés pharmaceutiques, comme indiqué dans la revue : « POTENTIAL CONFLICT OF INTEREST : Dr Plotkin a consulté pour Moderna, Janssen, Sanofi, Merck, Codagenix et Valneva. Le Dr Levy est un inventeur sur les demandes de brevet d’adjuvant de vaccin en attente et a été consultant pour GSK en 2019. »
    Nous obtenons l’image.

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